Après quelques brèves recherches, il semble que nul besoin était de réinventer (réécrire) la roue, car d’autres ont déjà effectué une énorme partie du travail.
Je pense en particulier à Pierre Drouin et Sophie Rioux :
Le premier qui propose une étude faite à une commission scolaire du Québec avec le soutien du ministère de l’éducation.
Ce document titré "LINUX À L’ÉCOLE - CONTEXTE ET CONDITIONS D’IMPLANTATION" à quand même six ans d’ancienneté. Il faut donc tenir compte de la baisse des coûts matériels, et de l’évolution sensible des software libres présentés.
Rioux quant à elle nous gratifie de "Linux dans les écoles primaires et secondaires : état de la situation" de 83 pages (en deux parties, ici et ici) au total écrit de Novembre 2000 à Juin 2001.
Son rapport s’attaque entre autres aux aspects suivants :
Dégager les raisons qui motivent la décision d’implanter Linux dans les écoles- Cerner l’accueil réservé à cette décision par les usagers dans les écoles concernées
Vérifier comment se présente l’entretien de Linux, comparativement aux systèmes plus souvent utilisés dans le milieu scolaire
Identifier les principaux avantages et inconvénients associés à l’utilisation de Linux.
Très peu d’intelligence suffit à l’adapter au contexte local. À utiliser en référence, avec le projet MILLE (encore canadien) et l’AbulÉdu.
Et ceux qui pensent que faire migrer des parcs entiers d’ordinateurs vers le logiciel libre relève du jamais vu seraient très surpris de lire les news de [http://linuxfr.org] , où l’on constate mois après mois, un mouvement définitif des administrations étrangères ou non, vers ces logiciels.
Du jamais vu en Guadeloupe ?
Certainement, et cela serait un honneur pour nos décideurs de faire le deuxième pas.